mercredi 24 décembre 2014

Vaccins, virus et microbes



Vaccins, virus et microbes


Il est aujourd’hui reconnu que Pasteur fut un faussaire. Béchamp, Tissot et d’autres l’avaient en leur temps dénoncé. Leurs expériences irréfutables ont montré que l’approche de Pasteur concernant les microbes était fausse, lui-même l’ayant reconnu sur son lit de mort !

Comment expliquer l’absence de critiques depuis cent ans ? La communauté scientifique, une fois de plus, s’est satisfaite de vues à court terme : la disparition du microbe ou du virus et l’apparente éradication de la maladie.
Si l’on peut faire apparaître tel microbe ou tel virus en fonction de la composition du milieu de culture, il faut bien admettre qu’il était déjà présent dans les cellules et que seule la nature du terrain lui permettait ou non de se manifester. Louis Pasteur l’avait d’ailleurs lui-même prouvé dans une communication à l’Académie des siences. Il a démontré le rôle du stress sur le résultat de l’inoculation du bacille du charbon en présentant deux poules inoculées. Seule est morte celle qui avait été soumise à une exposition au froid avant l’injection.
Pourquoi a-t-il fallu attendre si longtemps pour avoir accès à ces informations ? Pourquoi le point de vue d’un savant comme Antoine Béchamp n’est-il pas enseigné dans les facultés ? Cela permettrait à des chercheurs de vérifier la véracité de ses travaux. Ainsi le scandale des vaccinations – erreur médicale s’il en est – ne serait pas perpétué. Or il se poursuit à cause d’un matraquage médiatique, de manipulations et de publicité abusive, afin de préserver les énormes intérêts financiers liés aux vaccinations massives. Ces dernières contribuent au déficit majeur de la Sécurité sociale.
Aujourd’hui, il est temps de mettre un terme à ces mensonges. La nouvelle médecine, celle de l’information, nous permet une approche de la maladie totalement différente. Elle nous fait
considérer les vaccinations comme l’une des plus grandes erreurs de notre temps, le vestige médiéval d’une approche antiscientifique, qui refuse de prendre en compte le “terrain”. Et pourtant, que n’a-t-on rabâché : “Le microbe n’est rien, le terrain est tout !”
Le terrain est caractérisé, parmi d’autres spécificités, par le taux vibratoire de nos cellules et de nos organes.
La physique nous apprend qu’à une vibration correspond toujours une forme, et vice versa. C’est ainsi qu’un terrain affaibli laisse émerger des constituants qui, normalement, ne se manifestent pas. Les prétendus “agresseurs” : microbes, virus et autres prions ne sont rien d’autre que des constituants cellulaires. Ce sont donc des produits endogènes et non des “agresseurs venus d’ailleurs”. Il est alors aberrant de vouloir immuniser un organisme contre ses propres constituants ! En procédant ainsi, on change la nature du terrain, donc la vibration, et le virus ou microbe ne se manifeste plus.
La conséquence en est qu’une autre pathologie aura des chances de faire son apparition ; personne, ou presque, ne songera à la relier à cet acte barbare et contre nature qui consiste à introduire dans l’organisme :
• Une infâme mixture à base de cellules immortelles (cancéreuses), de sérum de veau foetal (vive les prions).
• Le fameux adjuvant de Freund, puissant oxydant sans lequel il n’y aurait pas “d’immunisation”, et pour cause !
On prétend éradiquer des maladies alors que l’on en fait émerger de nouvelles, celles-ci pires encore, en refusant – par méconnaissance des mécanismes du vivant – de reconnaître les conséquences néfastes du déplacement du terrain.
Dès lors, comment s’étonner de la montée en flèche des maladies nosocomiales (contractées dans les hôpitaux) ? A l’ère de l’asepsie, recherchée à grands frais dans ces établissements, le combat est perdu d’avance, comme tous ceux de la médecine issue de l’expérimentation animale, d’ailleurs, puisque c’est seulement le taux vibratoire cellulaire qui permet – ou non – l’émergence des fameux “agresseurs”.
L’état de délabrement de certains malades, ajouté à l’agression des traitements médicaux, permet de comprendre le surgissement de ces pathologies. Et ce ne sont pas les techniques de stérilisation de plus en plus sophistiquées, coûteuses et agressives, qui permettront d’enrayer ce fléau.
Où trouve-t-on des bacilles chez les individus sains ? Partout où des cellules meurent, libérant leurs constituants, sur la peau, dans les cavités naturelles, un maximum se retrouvant dans l’intestin, car il est le lieu d’aboutissement d’un processus de destruction du bol alimentaire. Evidemment, ces bacilles ne sont pas pathogènes. Ils ne sont que les témoins d’un processus vital nommé catabolisme. Partout où des cellules meurent – lors d’une injection par exemple – elles libèrent ces fameux “agresseurs” que certains s’obstinent à rendre responsables des maladies, alors qu’ils n’en sont que les témoins.
Il est nécessaire que le public ait une approche rigoureuse des données du problème afin d’autoriser ceux qui voudront se donner la peine de réfléchir à réclamer la juste liberté d’un choix pour eux-mêmes pour ne pas subir des agressions obligatoires, soutenues et perpétuées par l’inqualifiable comportement des “experts” dont l’information archaïque signe l’inadaptation à l’évolution des sciences.
La motivation n’est plus, loin s’en faut, la santé des peuples, mais la rentabilité et la fortune des laboratoires pharmaceutiques.
La vaccination reste l’un des plus grands scandales à venir, source de nombreux procès qui devraient permettre aux victimes la reconnaissance de leurs souffrances, causées par ceux qui avaient pour mission de les protéger et parmi lesquels, nous l’espérons, il n’y aura plus de “responsables mais pas coupables” !

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