Cinq Français sur cent seraient touchés par l’hépatite C
Pour l’hépatite C chronique, le tableau est beaucoup plus sombre. De nombreux malades ne se savent pas atteints par ce virus. On estime que la France va compter dans les cinq à dix ans, 2 millions de porteurs d’hépatite C chronique. Dans six cas sur dix, elle est due à une transfusion sanguine ou apparaît chez des toxicomanes. Les 40 % restants sont dus à une mauvaise stérilisation des appareils d’endoscopie et peut-être aux soins dentaires avec du matériel contaminé.
Elle contaminerait jusqu’à 5 % de nos concitoyens, et les dépistages sérologiques sont maintenant hebdo-madaires, même quotidiens, dans notre clientèle, suivis hélas souvent d’une réponse positive. Il faut absolument savoir alors si le virus se réplique encore, en recherchant l’ARN viral par amplification génique et faire un bilan d’immunité humorale (anticorps) et des sous-populations lymphocytaires (immunité cellulaire), afin de voir si le patient a un bilan plutôt d’infection virale ou plutôt de type auto-immun.
L’hépatite C deviendra chronique dans six cas sur dix.
Le cancer du foie sur cirrhose se verra dans un total d’environ un cas sur dix patients ayant eu une hépatite C, donc 10 %. Le risque de cancer du foie est ainsi cent fois plus grand chez un sujet atteint d’hépatite C que chez un sujet atteint d’hépatite B.
Les ressources de l’immunothérapie
Voici quelques souches intéressantes, dans l’immunothérapie à doses infinitésimales, des hépatites chroniques.
L’interleukine-6 est une cytokine inflammatoire qui induit l’élévation des anticorps IgM, IgG et IgA (qui sont très élevés dans les hépatites et, ce, d’autant plus que l’hépatite chronique est ancienne). Elle est à l’origine des protéines inflammatoires et de la fièvre et induit, à la longue, une possibilité de transformation de l’affection en tumeur hépatique. Toutes ces raisons nous la feront utiliser en hautes dynamisations.
Une deuxième souche importante est le facteur de nécrose tumorale ou TNF-alpha. C’est encore une cytokine inflammatoire qui est sécrétée, dans le cas présent sous l’influence du virus. Cette substance a une action nécrosante sur les cellules, par production de radicaux libres (le fameux NO). Le TNF-alpha stimule le macrophage qui détruira la membrane de la cellule hépatique et détruira celle-ci, entraînant une inflammation hépatique.
Une haute dilution limitera l’action néfaste de cette substance.
Nous employons, depuis quelque temps, l’Insulin-like growth factor-1. C’est un facteur de croissance exprimé, notamment, par les cellules hépatiques. Il se trouve à des taux significativement plus bas chez les sujets porteurs d’affections chroniques du foie que chez
les sujets sains ; on peut espérer, par des basses dilutions, arriver à régénérer des cellules hépatiques et rendre ainsi le foie plus fonctionnel.
Il est bien évident qu’il existe d’autres souches à utiliser dans les hépatites chroniques. Il faudra, également, ne pas se priver de plantes à visée hépa-totrope, que les phytothérapeutes connaissent bien, telles que le romarin, le chardon-marie et la chélidoine.
L’immunothérapie à doses infinitésimales a donc de multiples indications. Mais il faut savoir faire preuve de patience, de persévérance, mener un interrogatoire fouillé, prescrire des analyses biologiques approfondies et perfectionner sans cesse ses
connaissances. Le tout, accompagné de l’amour et de la compréhension du patient par son thérapeute, concourt à vaincre progressivement la maladie. Un terme, qui recouvre ce que “le mal a dit”, et qui nécessite souvent, pour bien l’appréhender, un minimum de psychologie.
Voici un excellent phytothérapeute qui m'a guéri de l'hépatite B. Il s'appelle Dr Imoloa. Je souffrais d’hépatite B depuis 11 ans, j’étais très faible et souffrais de douleurs dans tout le corps, mon estomac était enflé et je pouvais à peine manger. Et un jour, mon frère est arrivé avec un médicament à base de plantes du docteur Imoloa et m'a demandé de boire. J'ai bu. Il n'y avait plus d'espoir. Après deux semaines de traitement, j'ai commencé à ressentir un soulagement, mon estomac enflé a commencé à rétrécir. les douleurs avaient disparu. Je suis redevenue normale après la fin du traitement, je suis allée à l’hôpital et j’ai eu un test négatif, ce qui signifie que j’ai guéri. Il peut également soigner les maladies suivantes avec ses médicaments à base de plantes ... lupus, rhume des foins, rougeole, douleur corporelle, toux sèche, diabète, hépatite ABC, ulcère de la bouche, cancer de la bouche, maladie du sel biliaire, déficit en charge, diarrhée, maladie cardiovasculaire, Tumeurs, maladies respiratoires chroniques, troubles mentaux et du comportement, maladies inflammatoires du foie et des reins, cancer des yeux, cancer de la peau, paludisme, maladies rénales chroniques, hypertension artérielle, intoxication alimentaire, maladie de Parkinson, cancer de l’intestin, cancer des os, tumeurs au cerveau, asthme, arthrite, épilepsie, fibrose kystique, maladie de Lyme, douleurs musculaires, choléra, fatigue, douleurs musculaires, essoufflement, tuberculose, alzhemer, polyarthrite rhumatoïde, troubles anxieux, maux de dos, maladie de Crohn, insuffisance rénale chronique, leucémie aiguë myéloïde, aiguë pancréatite, maladie chronique inflammatoire des articulations, maladie inflammatoire de l'intestin, maladie d'Addison, acné au dos, cancer du sein, bronchite allergique, maladie de Celia, maladie de boulimie, congénère maladie cardiaque, cirrhose, spectre de l'alcoolisation fœtale, constipation, infection fongique des ongles, fabromyalgie (sort d'amour) et bien d'autres. c'est un grand herboriste. Contactez-le par courrier électronique; drimolaherbalmademedicine@gmail.com. Vous pouvez également le joindre via whatssap- +2347081986098.
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