jeudi 25 décembre 2014

Têtes coupées



Têtes coupées
 
“Le mensonge a été élevé à la dignité de principe fondamental de l’action politique.” Carl Gustav Jung
Concernant le cas de rage survenu dans le Sud-Ouest, il y a plusieurs possibilités.
Scénario numéro un, c’est un coup monté de toutes pièces et le chien n’était pas enragé, ou alors il a été enragé par ceux qui pouvaient tirer un bénéfice de cette sordide mise en scène.
L’hypothèse vous semble un peu osée ? Et pourtant elle est plausible. Le hasard fait toujours bien les choses quand il s’agit de nous faire consentir et acquiescer aux pires iniquités perpétrées par ceux qui entendent diriger nos vies. Comme par hasard, il y a toujours une épidémie qui menace au moment où les gens commencent à se lasser des effets secondaires des vaccins et à chercher d’autres moyens non
conventionnels d’assurer leur bien-être. Comme par hasard, il y a toujours des journalistes et des caméras pour enregistrer et diffuser les scènes horribles qui vont terroriser à nouveau tous ceux qui peu à peu prenaient confiance dans leurs propres capacités à guérir et à évoluer vers la maturité et la responsabilité.
Scénario numéro deux, la chienne était bien enragée, mais alors, dans quelles circonstances et par qui cet animal a-t-il contracté la rage juste avant de franchir plusieurs frontières pour venir vagabonder à Bordeaux?
Ce qui est sûr, on a utilisé à fond ce cas isolé pour relancer les campagnes vaccinales et imposer en douceur l’identification électronique des
animaux domestiques.
Ce qui est sûr, aucun des chiens euthanasiés dont on a coupé la tête n’avait la rage. Par contre, ils avaient tous un propriétaire, une famille humaine pour laquelle ils avaient une valeur. Des milliers d’enfants ont vu ces têtes coupées que l’on emmenait à l’Institut Pasteur pour analyser leurs tissus nerveux. Bien sûr, aucun chien n’était enragé. Mais le message est clair, voilà ce qui attend TON chat ou TON chien s’il n’est pas vacciné ET identifié.
Seul le mensonge nécessite une telle violence pour s’imposer. Seuls les régimes totalitaires utilisent ce genre d’arguments, la décapitation publique, dont l’usage historique fut très justement nommé Terreur.

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