vendredi 26 décembre 2014

Les vaccinations menacent-elles notre équilibre biologique interne ?



Les vaccinations menacent-elles notre équilibre
biologique interne ?


La Ligue nationale pour la liberté des vaccinations a permis à un enfant de Strasbourg, paralysé à la suite d’une vaccination antipolio, de gagner un procès en indemnisation. L’affaire était mal engagée puisque le virus retrouvé à l’analyse et déclencheur de la paralysie était un virus Coxsackie, normalement et en temps ordinaire non pathogène et, surtout, absent du vaccin injecté qui comportait les virus de type A, B, C. L’expert a admis que le vaccin avait provoqué un bouleversement de l’équilibre biologique interne du vacciné et que ce virus, en général présent dans l’intestin et non pathogène, l’était devenu et avait provoqué cette paralysie.
Ce qui m’amène à la réflexion suivante : en 1978, date depuis laquelle nous avons les chiffres, on comptabilisait annuellement en France 2 061 cas de méningite (appelée à l’époque cérébro-spinale). Ce nombre de cas de méningites a régressé sans vaccination à 348 cas en 1993, il a stagné ensuite pendant trois ans (364 cas en 1996), pour reprendre une ascension rapide et arriver à doubler six ans après (718 cas en 2002).
Que s’est-il passé entre 1993 et 1996 ? On a vacciné presque la moitié de la
population française contre l’hépatite B. Bien sûr, pour le milieu officiel cela ne serait certainement qu’une coïncidence ! Il est remarquable que de grandes campagnes de vaccination menées contre les méningites n’empêchent pas le nombre de méningites d’augmenter malgré tout. Il est vrai que l’on a également remarqué que les campagnes de vaccination contre les méningites de différents types tendent à faire muter les agents responsables en méningocoques de types B. Ce type de méningites B représente 65 % du total, mais vous en entendez rarement parler, car il n’existe pas de vaccin pour ce type de méningites. Pour mémoire, les enfants reçoivent entre la naissance et 6 ans l’injection de plus de 36 antigènes : on peut donc penser que le développement des maladies nouvelles chez les enfants n’est pas sans relation avec cette manie vaccinale.
Jean-Marie MORA,
président de la Ligue

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