vendredi 26 décembre 2014

La vaccination antitétanique



La vaccination antitétanique

Depuis deux cents ans, les vaccinations ont toujours été empiriques et non scientifiques. Cette technoscience nous a conduits à utiliser des produits dangereux et incertains. Pourtant, les vaccinations, progressivement, sont devenues miraculeuses au regard des individus et des médecins. Nous avons créé les conditions nécessaires pour en faire une religion mondiale. Se serait-on trompé, nous aurait-on trompés ?
Les partisans des vaccinations, par exemple, depuis plus de soixante-dix ans, nous affirment que la vaccination antitétanique est efficace à 100 %. Pour eux, les tétanos ont lieu uniquement chez les non-vaccinés. Ce discours endoctrineur et moralisateur n’est pas digne de la science médicale. Cette fausse science, cette nouvelle religion nous est imposée de plus en plus autoritairement, avec arrogance et intimidation.

La vaccination antitétanique est-elle efficace ?
Cette vaccination ne sert strictement à rien, elle est le résultat d’une monumentale erreur, elle ne nous protège pas, je vais vous expliquer pourquoi.
Le bacille du tétanos appelé Clostridium tetani est une bactérie anaérobie stricte. Ceci veut dire que ce bacille ne peut vivre que dans un milieu privé d’air, c’est-à-dire privé d’oxygène. Dans un tissu sain, irrigué, oxygéné, le bacille du tétanos meurt.

Peut-on avoir une action des anticorps antitoxine dans un tissu en anaérobiose ?
Absolument pas, puisque le système immunitaire est dans le sang un milieu oxygéné. Le transport des anticorps, le langage immunitaire, les lymphocytes producteurs d’anticorps, tout le système immunitaire par anticorps se trouve dans la circulation sanguine. Les anticorps sont emmenés vers le foyer infecté par la circulation sanguine. Là où il y a des anticorps, milieu aérobie, il ne peut y avoir des bacilles du tétanos, milieu anaérobie.
Nous avons affaire à deux mondes totalement hermétiques l’un par
rapport à l’autre. Le monde aérobie des anticorps, le monde anaérobie des bacilles tétaniques.
La meilleure preuve est que, après un tétanos guéri, il n’y a jamais d’anticorps antibactériens ou antitoxines dans le sang des convalescents. Ceci prouve que les bacilles, la toxine, ne rentrent jamais en contact avec le système immunitaire. Nous avons donc bien une vaccination placebo.
Les partisans des vaccinations vont m’objecter que la vaccination n’est pas dirigée contre le bacille, mais contre sa toxine. La toxine fabriquée dans la plaie anaérobie, par le microbe, va devoir quitter la plaie et rejoindre le système nerveux central, elle va donc sortir de la plaie et se retrouver alors dans un milieu aérobie. Elle peut donc être attaquée par le système immunitaire.

Est-ce que la toxine peut être attaquée par les anticorps lorsqu’elle quitte le milieu anaérobie ?
Hélas, pas de chance pour les vaccinalistes convaincus. La toxine chemine de la plaie anaérobie au système nerveux central (la tête) dans les nerfs, à l’intérieur des nerfs. C’est là aussi un milieu inaccessible aux anticorps. Tout ce qui chemine dans les nerfs (toxine, virus, etc.) est à l’abri du système immunitaire. C’est pour cela qu’après un tétanos guéri il n’y a jamais d’anticorps antitoxine.
Nous avons donc bien une vaccination placebo. Tout le long de sa migration, la toxine est à l’abri des anticorps.
Il faudrait que les vaccinalistes se posent enfin les bonnes questions. Bien que cela soit impossible comme nous venons de le voir, admettons que la toxine puisse être neutralisée par les anticorps. Que se passerait-il ?
Le système immunitaire est impuissant vis-à-vis du bacille puisqu’il est dans sa plaie anaérobie, aussi, seule la toxine serait neutralisée. Les anticorps vont rencontrer la toxine et former des complexes antigènes-anticorps, mais le bacille tétanique va encore produire de la toxine puisqu’il n’est pas attaqué, et de nouveaux complexes antigènes-anticorps vont être produits. Ceci va nous amener rapidement à une surcharge en complexes antigènes-anticorps, donc à des dégâts irréversibles pour le malade et rapidement à la mort. Heureusement que cette vaccination ne sert à rien, qu’il n’y a pas de contact entre la toxine et les anticorps, car cela se solderait par la mort systématique des malades.
Nous voyons donc bien que ce vaccin est totalement inutile, qu’il n’a aucune action. C’est de la poudre de perlimpinpin. Que vous soyez vacciné ou non vacciné vous avez les mêmes risques d’attraper le tétanos quand les conditions locales d’anaérobioses sont présentes.

Les vaccinalistes attribuent la baisse du tétanos à la vaccination et crient victoire. A quoi est due cette baisse (moins de trente cas de tétanos par an) ?
La baisse du nombre de tétanos est due essentiellement à la chirurgie et à l’emploi des antibiotiques.
La chirurgie est là pour parer la plaie, enlever les parties nécrosées et les échardes, supprimer les parties en anaérobiose et ainsi revasculariser
la plaie.
Les antibiotiques ont pour fonction de supprimer les surinfections par des bacilles pyogènes gros consommateurs d’oxygène. Ces bacilles favorisent la chute du potentiel d’oxydoréduction qui aide à l’installation du tétanos. La toxine tétanique est sécrétée dans le but d’augmenter l’ischémie locale, c’est-à-dire renforcer l’anaérobiose. Hélas pour les malades, ce sont tous les muscles du corps qui sont tétanisés.
Nous comprenons pourquoi il existe des tétanos sur des grands brûlés, alors que ceux-ci n’ont visiblement pas eu de contact avec des spores tétaniques au moment de leur brûlure. Des spores présentes chez les individus avant leur brûlure, résistantes à la chaleur, trouvent des tissus présentant après la brûlure des conditions locales d’anaérobioses. Ces parties ne sont plus vascularisées, le tétanos éclate.
Nous comprenons aussi pourquoi le tétanos néo-natal est toujours mortel. Les tissus souillés par la coupure du cordon ne peuvent retrouver une vascularisation salvatrice. La ligature empêchant tout retour possible de la vascularisation.
En résumé, nous avons un microbe et sa toxine qui sont à l’abri des anticorps dans la plaie tétanigène, et une toxine à l’abri des anticorps dans les nerfs. Les anticorps antitoxine vaccinaux ne sont donc d’aucune utilité. Ce vaccin doit être abandonné rapidement, puisqu’il ne sauve personne.
L’étude de cette vaccination, fleuron de la médecine, la plus utile et la plus indispensable de toutes pour les partisans des vaccinations, se révèle complètement inutile. Malheureusement, il en
est de même pour d’autres vaccinations et peut-être bien toutes les vaccinations. Je pense qu’il n’y a pas de vaccinations possibles contre une bactérie, quelle que soit la bactérie, lorsque les conditions locales sont réunies. La maladie éclate quel que soit le statut immunitaire du malade.

Réfléchir sur la face cachée des vaccinations
Pour les virus, c’est un peu plus
compliqué que pour les bactéries, mais l’action des vaccins antiviraux n’est pas plus satisfaisante et très dangereuse pour la santé des individus. Il est temps de réfléchir avant d’agir et d’étudier enfin toute la face cachée des vaccinations. Les vaccins ne sont pas des produits anodins. Ils contiennent quantité d’impuretés (virus étrangers, sérum de veau, produits chimiques, métaux lourds). Les vaccins à virus vivants ne peuvent pas être stérilisés puisque cela détruirait l’action du virus vaccinal. Nous ne savons donc pas ce que nous injectons. Etudions ensemble les effets néfastes des vaccinations (effets secondaires), ne nions plus ces effets, et nous aurons fait un grand pas pour la santé des individus. L’avenir de nos enfants vaut bien que l’on se mobilise.
Dr Jean MERIC

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