jeudi 25 décembre 2014

Qu’ont apporté les vaccinations au monde moderne ?



Qu’ont apporté les vaccinations au monde moderne ?


Globalement et en toute objectivité, le bilan est vraiment désastreux. Les “bienfaits” des vaccinations ? Les voici :

1. Les désordres immunitaires
Les vaccinations empêchent le système immunitaire de fonctionner normalement. Celui-ci, surchargé, finit par faire n’importe quoi ne comprenant plus les messages qu’il reçoit. Il peut notamment fonctionner à l’envers et générer des maladies auto-immunes, maladies qui étaient extrêmement rares avant l’ère de la vaccination. Leur augmentation, aujourd’hui, est considérable.
On substitue à notre système de défense des artifices et une pseudo-protection moins efficace et non durable (il faut faire des rappels). On oblige l’enfant à faire plusieurs maladies à la fois (avec les vaccins multiples) alors que naturellement le corps ne fait jamais plusieurs maladies en même temps.

2. Les maladies virales et les maladies chroniques
Les vaccinations nous aident à changer de maladie. Les vaccins à virus (variole, rougeole, oreillons, rubéole, hépatite A et B, fièvre jaune, rage, varicelle, polio, grippe) nous ont entraînés vers l’émergence de maladies virales aujourd’hui innombrables alors qu’auparavant les maladies bactériennes prédominaient. Celles-ci étaient plus spectaculaires (forte fièvre, éruption, etc.) mais on en sortait vainqueur la plupart du temps, à moins d’une vulnérabilité particulière. Les maladies virales sont très difficiles à soigner et prennent des formes sournoises difficiles à diagnostiquer. Elles accentuent la dégradation du terrain.
Le plus grave, c’est l’installation dans les populations de maladies chroniques dégénératives de pronostic grave (sida, cancer…) à cause du pouvoir transformant des virus vaccinaux et de l’effondrement du système
immunitaire.

3. Les maladies génétiques
Les virus vaccinaux, en pénétrant dans le génome des cellules, peuvent engendrer des altérations chromosomiques ou d’autres effets plus subtils qui peuvent être hérités par les générations suivantes. Selon la loi de l’entropie, plus on agit dans l’Ordre, plus on crée le Désordre. Ainsi, les petits-enfants sont susceptibles d’hériter de leurs grands-parents une maladie dite “génétique”, appelée ainsi parce qu’on ne sait pas expliquer son origine. Aujourd’hui, une soixantaine de maladies “orphelines” sont répertoriées, et la liste s’allongera. Les atteintes des vaccinations sont bien loin de se limiter à celles qui se produisent dans les heures et les jours qui suivent l’inoculation. Il faut se préoccuper des effets sur le long terme, qui sont hélas, comme on le voit, souvent irréversibles.

4. La dégradation des fonctions du cerveau
La plupart des virus ont une affinité pour le système nerveux et vont s’y loger directement, à l’abri des anticorps. Et c’est là qu’ils font le plus de dégâts (encéphalite, méningite, atteinte de la myéline, tumeur…). Les bactéries et les toxines, qui sont infectées brutalement dans l’organisme, ne sont pas en reste; elles suivent le même tracé. La vaccination crée un état de choc entraînant irrémédiablement des lésions et des altérations cognitives ainsi que des troubles caractériels dont la société entière paie les conséquences. Combien d’enfants handicapés après vaccination se retrouvent en institution ? Combien de familles sont détruites par le handicap d’un ou de plusieurs enfants ? Une chape de plomb recouvre ce problème et c’est la loi du silence qui règne.

5. La facilitation du franchissement de la barrière des espèces
Les vaccins actuels, en particulier les vaccins recombinants, qui sont des chimères, agissent comme des OGM et représentent un danger nouveau pour l’humanité. En mariant de l’ADN animal à de l’ADN humain ou à de l’ADN végétal, puis en l’introduisant dans le corps, nous brisons les protections naturelles qui ont toujours empêché que les espèces ne se croisent et ne produisent des monstres ; la nature ne le tolère pas. Depuis le premier vaccin (antivariolique), des cellules animales ont été introduites dans le corps humain, créant une passerelle entre l’homme et l’animal. Certes, des micro-organismes cohabitent chez plusieurs espèces et peuvent parfois provoquer des zoonoses (maladies transmises de l’animal à l’homme). Mais avec les vaccinations, ce n’est pas le même processus : l’homme “s’animalise” et brouille son identité. Problème suffisamment inquiétant pour que l’Académie des sciences et l’Académie de médecine se
soient penchées sur le lien entre maladies humaines et maladies animales à l’Institut de France en juin 2004.

6. La fausse sécurité
En laissant croire que “vaccination égal protection”, que “se vacciner, c’est éviter la maladie” (publicité pour le vaccin antihépatite B), les gens pensent qu’avec cette combinaison de protection ils peuvent tout faire. La vaccination leur enlève la notion de responsabilité et les pousse vers des conduites à risque. On aboutit exactement à l’inverse de ce que devrait être une vraie prévention. Résultat, les maladies sexuellement transmissibles sont en expansion avec réapparition de la syphilis. Et ce n’est qu’un exemple.
L’homme moderne ne se rend pas compte du chantage : croire à la vaccination, sinon c’est l’enfer. La vaccination balaie la peur et installe la foi, voire le fanatisme dans ses formes extrêmes. Pourtant, il ne s’agit pas de religion, mais de médecine. On aboutit exactement à l’inverse de ce que devrait être une vraie science. Résultat, on continue à nier les pathologies
consécutives au vaccin contre l’hépa-tite B, pourtant patentes, parce que l’on est dans la croyance. Et ce n’est qu’un exemple.
N’est-ce pas l’OMS elle-même qui a parlé d’une “confiance exagérée dans le BCG”… ? (cf. Le DOTS, éd. ALIS)

7. La dépendance
La vaccinologie est la plus extra-ordinaire machine à conditionner les individus. Nous sommes devenus complètement dépendants d’un système basé sur l’acceptation des drogues. Notre corps a été “obligé” de recevoir des injections répétées de produits “non naturels” et il est devenu permissif à tout. Des cellules animales, des métaux lourds, des toxiques avérés, de l’ADN trafiqué, etc., tout ce qui se trouve dans un vaccin ouvre la porte à l’acceptation des autres “cocktails nocifs”. Le chemin est tracé vers l’addiction aux drogues douces ou dures, à la “mal-bouffe”, aux OGM, à l’air vicié, à l’abrutissement télévisuel, au dopage sportif, et j’en passe. Vous pensez qu’il n’y a pas de lien ? Réfléchissez et vous verrez que les vaccinations façonnent un être humain malléable, soumis et vulnérable et, par conséquent, en demande constante d’aide, même pour des petits bobos ou chagrins, donc prêt à tout. Même si d’autres éléments sont en jeu dans ce processus, les vaccinations sont
le facteur le plus sournoisement destructeur.

8. La désinformation
Depuis Pasteur, le mensonge a fait son entrée officielle en science. Il n’y a pas de domaine où le mensonge soit plus flagrant qu’en vaccinologie. Le jour où Pasteur a approuvé l’imposture de son complice Brouardel (cf. Courrier d’ALIS, n° 40, p. 34), nous avons été embarqués dans un système de supercherie, de faux-semblants, de tromperie, de fraude, d’improbité sans nous en rendre compte. Et cela dure depuis plus d’un siècle. Tous les acteurs du scénario vaccinal sont englués dans la désinformation, dont ils sont eux-mêmes victimes, tout autant que le public, qu’ils maintiennent volontairement dans l’ignorance. Nier les accidents vaccinaux, ne publier que ce qui est favorable aux vaccinations, biaiser les résultats des études, être juge et partie dans les questions litigieuses, falsifier les rapports d’expertise, faire du chantage pour que règne la loi du silence, tel est le tableau que l’on peut dresser en ce début de siècle lorsque l’on évoque le domaine de la vaccination. Avouez que cela fait tache sur la haute idée que l’on se faisait de la science !
Vivre sans vaccinations ? Vous avez maintenant, je suppose, une réponse personnelle à cette question. Tout est dans notre corps et dans notre cerveau. Face à l’angoisse permanente dans laquelle nous plonge la médecine d’aujourd’hui, ayez un sursaut salutaire, retrouvez votre conscience et faites usage de votre bon sens. Ce n’est pas difficile. Ne vous nourrissez pas de catastrophisme, ceux que manient cette arme de pouvoir s’amusent de vous voir trembler. Ne leur donnez pas ce plaisir. Affichez votre belle confiance dans la vie. C’est dans les périodes qui paraissent ténébreuses qu’il faut, au contraire, montrer sa vitalité, en réalisant qu’on a eu peur pour rien, qu’on a cru à des sornettes. Bien sûr, vivre c’est prendre des risques, mais que l’on choisit et qui composent notre destin. La “science”, par contre, nous offre une panoplie de dangers bien plus redoutables. Devons-nous les choisir sans réfléchir ?

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